Un soir ,alors que toute la porcherie dort, Lya sort en cachette. Il y a un loup.

-Ah ! Le loup veut nous manger. Oh non !Je suis rentrée et j’ai fait rentrer le loup,dit Lya.

 Tout le monde crie : « Oui ! Le fermier arrive avec sa fourche ! »

Pan ! Il pique le loup avec celle-ci et le loup meurt. Pour finir papa et maman m’ont fait une bonne leçon.

Manon

Le Yéti d’avril 

Je referme violemment la porte derrière lui et je cours à la fenêtre. 

Le yéti, j’étais sûr(e) à présent que c’en était un. 

Je le vois s’éloigner en bondissant dans la neige. Il s’arrête au-delà de la grange, se retourne, se remet debout et me lance un dernier regard. 

J’ai mon téléphone et je suis sur le point d’appeler les secours. Mais le yéti me regarde avec pitié. Alors, je repose mon téléphone. 

Le lendemain matin, dans un bois, je trouve quelqu’un coincé dans un énorme glaçon. J’appelle les secours. Après avoir été décongelée, la victime me raconte qu’elle était partie chasser le Yéti et qu’il lui a jeté une malédiction.  Je décide de faire une randonnée dans la montagne pour voir le Yéti.  Mais il n’est pas là. Après trois heures de recherche, j’abandonne et rentre chez moi pour manger. 

L’après-midi, je questionne plusieurs personnes, ayant reçu cette malédiction, pour avoir plus de renseignements sur le Yéti. Je cherche à savoir où peut être le yéti en ce moment. 

Enfin, après avoir réfléchi longtemps, je pense avoir trouvé le lieu où se cache le Yéti.  Il est certainement au sommet de la Montagne interdite. Elle s’appelle la Montagne interdite parce que plusieurs personnes y sont allées mais n’y sont jamais revenues.  Je décide d’appeler les secours pour donner la position du Yéti. 

Finalement, après quelques jours, le yéti est enfin  attrapé … et tout ça, grâce à moi.

J’ai raconté cette histoire  à mes amis. Et ce qui m’a fait rire, c’est qu’ils m’ont cru. Et pourtant, on était le premier avril : pas un jour de Yéti mais un jour de poisson … de poisson d’avril !

Alix

Lya décide de se lever de son lit et de passer la porte, derrière la porcherie. Et là, elle découvre un magnifique champ de fleurs multicolores et des animaux de toutes sortes comme des chevaux, des lions, des tigres, des girafes, des lapins …. Toutefois, il y a un grillage et un haut-parleur.

 J’appuie dessus, j’entends une voix :

« Qu’y a-t-il ? Que voulez-vous ? »

 Je répondis : « Je suis la fille de la propriétaire d’une petite porcherie, pas loin d’ici ».

Le monsieur dit « Ah oui !! c’est toi, tu peux entrer et ne t’en fais pas, tu as dû voir qu’il y a des animaux dangereux, mais ici ils sont dressés. Rassure-toi, ils ne sont pas méchants, tu peux les approcher, ils n’ont jamais fait de mal à personne ».

Donc je rentre et tous les animaux s’approchent de moi. Ils se frottent contre moi : c’est super mignon ! J’ai envie de rester ici mais je n’ai pas envie que ma maman s’inquiète. Donc je ne sais pas quoi faire : si je reste ici avec le vieux monsieur ou si je rentre à la porcherie. Il y a une moitié de moi qui me dit : « Reste ici et le vieux monsieur t’hébergera, tu es bien ici, pourquoi partir ?  Il y a tout ce qu’il te faut. »

Et l’autre moitié de moi me dit : « Mais non, retourne à la porcherie ! Ta maman va s’inquiéter si tu ne rentres pas. »

Je ne sais pas où aller : rester ici ou retourner avec ma maman. Mais je finis, quand même, par rentrer chez moi. Quand je rentre à la maison, ma maman dit :

« Mais où étais-tu passée ? je m’inquiétais, même si je savais que tu étais passée par la porte qui était derrière la porcherie ».

Je lui dis : « Je vais tout t’expliquer maman : je voulais tellement passer la porte que j’y suis allée. Alors j’ai passé la porte et c’était un autre univers que le nôtre. Je peux y retourner, s’il te-plait…. Si tu veux, je pourrais t’emmener c’est magnifique !».

Et elle me dit : « Tu pourras y retourner de temps en temps si tu veux mais à deux conditions :  que tu m’y emmènes au moins une fois et que tu me dises quand tu pars. »

Tout est bien qui finit bien !

Voilà l’histoire de Lya, sa maman, la porcherie et le monde imaginaire.

Julie

Karim et Nora habitent dans un petit village. Le samedi ils aiment beaucoup se promener dans les bois, observer les animaux, dévaler les pentes en VTT. Un jour, ils se perdent au milieu de la forêt, ils aperçoivent une vieille maison. Ils s’approchent. La maison semble inhabitée. Elle est en partie envahie par la végétation. Ils poussent la porte et rentrent doucement.

Ils entendent la porte grincer. Ils entendent le plancher de l’étage craquer, puis des bruits lointains. Ils montent à l’étage. Ils entrent dans une petite chambre. Et là, ils découvrent tous les animaux perdus au village.

Alors, ils font descendre les animaux, les hamsters sur le porte-bagages, les chiens courent devant, les chats sont derrière les chiens. Les maitres et les maîtresses des animaux accourent. Karim et Nora reçoivent une médaille de bravoure.   

Flora                    

Un yéti dans mon garage

Le yéti me lance un regard content et il me fait même un câlin. J’ai trouvé ça bizarre.

Tout à coup, mon ami arrive mais quand il voit le yéti, il s’enfuit en criant en boucle :

-Maman ! Maman ! Au secours, un monstre !!!

Mais je l’ai vite rassuré en lui disant que c’était un costume.

Le yéti entend ce que je dis et il se met à rire:

-          -Ahahahahahaha !!!!

Puis, il me dit :

-          -Mais non, voyons, ce n’est pas un costume.

Et il le prouve en me disant :

-             -Tu veux toucher ?

Je commence à toucher:

-           -Mais ce sont de vrais poils !!!! Un Yéti !!C’est un vrai yéti !!

Il a raison mais même s’il est gentil, on a encore un peu peur. Le yéti nous rassure en nous disant qu’il ne nous fera aucun mal.

Alors nous sommes rassurés et pendant une heure, nous jouons ensemble et nous sommes tous devenus amis avec le yéti.

Il est très content car il s’est fait de nouveaux amis mais ma maman me dit qu’il est temps de rentrer et de laisser ma grosse peluche.

Je crois qu’elle ne sait pas que c’est un vrai yéti.

Heureusement, nous sommes contents car en fait, le yéti vit maintenant…. dans notre garage mais chut !!!! Ne le dites pas à ma maman.

Flavian